Io traduco - Giochi e diritti umani

PEKIN - Nous sommes fermement contraires à n’importe quelle déclaration ou acte qui puisse interférer avec les affaires interieurs des autres pays, en trainant les droits de l’homme, la religion ou des autres sujets.
Après la declaration de Bush en ce qui concerne la situation des libertés en Chine,la réponse de Pekin arrive d’un ton vexé. Le president americain a parlé de « intense inquiètude pour les dissidents, les activistes politiques et les défenseurs des droits humains » et le géant asiatique réfute que « le government chinois met sa popolation à la première place et il s’engage à maintenir et promuvoir la liberté et les droits fondamentaux de ses citoyens. »
Malgrè un échange d’opinions il reste l’engagement à maintenir de bons relations parmi les deux Pays. En attendant, le president français Sarkozy qui est de retour des jours polemiques sur son voyage dans la ille des Jeux, a annoncè qui va rencontrer le Dalai Lama.

En Thailande, pendant la deuxième étape de son voyage en Extreme-Orient, le president americain a manifesté intense inquietude sur l’état des libertés en Chine : « L’Amerique maintient une opposition rigoureuse en ce qui concerne le sujet de la détentions de dissidents, de dèfenseurs des drotis humains et activistes religieuses. »
“J’ai parlé en toute clartè, franchise et constance aux leaders de Pekin en ce qui concerne la notre intense inquietude – a-t-il ajouté – parce que les Etats-Unis estiment que la popolation chinoise ait le droit aux libertés fondamentaux qu’ils sont le droit naturel pour tous les etres humains. »
Le porte-parole du Ministère des affaires E’trangèrs Qin Qang a répondu aux critiques, en expliquant que « les citoyens chinois ont la liberté de culte selon la loi ». « Nous avons – il a ajoutè – toujours insisté à maintenir un dialogue sur la base de l’estime mutuelle et de l’égalité. »
Le gouvernement a laissé entendre que les critiques de Bush n’ont pas gardé une certaine tenue : s’il peut y etre un échange d’opinions, il faut qu’il arrive « sur le niveau d’égalité et d’estime mutuelle ».